Ce voyage, planifié pour nos 50 ans de mariage, a débuté le 1er janvier 2020 par un vol Paris-Bangkok. Après avoir récupéré des 11 heures de voyage, nous sommes repartis le 4 de Bangkok vers Auckland.

Le premier contact qu’on a avec un pays, c’est au travers de son aéroport et des formalités d’arrivée. La Nouvelle Zélande ne fait pas exception. Tout d’abord, l’aéroport lui-même : petit mais sympa : propre, bien fléché avec du personnel souriant. Tout y est bien orchestré et les choses vont vite. La Nouvelle Zélande est très stricte sur l’importation, même à titre personnel, de fleurs, plante, nourriture, viandes et légumes. Tous les bagages passent au screening et des chiens viennent les renifler, à la recherche de substances illicites ou hallucinogènes.

Après avoir pris possession de notre chambre au Nesuto Stadium, nous avons fait un tour sur les quais tous proches. Il y a pléthore de petites boutiques grouillantes de chalands et de restaurants ouverts de11h00 à… tard (late…). Le fish and chips est omniprésent et bien sûr les fruits de mer largement représentés par les huitres et les moules.

Après une nuit blanche dans l’avion, nous ne trainerons pas longtemps et nous irons nous coucher de bonne heure.

Les quelques photos qui suivent montre une atmosphère orangée, due aux incendies en Australie. La police d’Auckland a d’ailleurs demandé à la population de ne pas appeler, que ce phénomène était connu, et en passant une annonce régulièrement à la télé.